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Le coaching ne donne aucune garantie de résultat !!! (Et c’est précisément pour ça qu’il fonctionne.)

##coachingprofessionnel , ##dirigeant , ##leadership , ##DRH

Oui, c’est vrai. Le coaching ne garantit pas de vous transférer des connaissances comme une formation standardisée.
Il ne garantit pas de résoudre vos problèmes à votre place comme un consultant.
Il ne garantit pas d’apaiser vos blessures comme une thérapie.

Il ne garantit même pas que votre manager - si c’est lui qui vous envoie - verra son travail fait à sa place. (Et honnètement… celui-là aurait sans doute intérêt à se faire coacher lui aussi.)

Bref => pas de recettes toutes faites, pas de prêt-à-penser, pas de solution sur étagère.

Alors… n’est-ce pas risqué, tout ça ?

Le seul risque réel ?

Vous ne risquez rien pour votre santé.
Rien pour vos relations.
Rien pour votre estime.
Rien pour vos compétences, au contraire.
Et même votre temps n’est pas perdu : il est simplement réalloué à ce qui compte vraiment, c’est-à-dire vous.


Le seul risque objectif ?

Une somme que vous acceptez d’investir… et une (petite) tranche de votre agenda à passer avec quelqu’un qui veut sincèrement votre réussite. (Franchement, on a vu pires prises de risque dans la vie.)


Et même si vous tombiez sur un coach un peu fantasque, autodidacte approximatif ou vaguement illuminé… est-ce que c’est si dangereux ?
Le simple fait de douter, de questionner son approche, de confronter vos attentes… c’est déjà un premier pas vers la prise de recul, l’esprit critique, le lâcher-prise, bref, les réflexes mentaux que le coaching vient justement renforcer.


Mais il y a une garantie. Une seule. (Et elle change absolument tout)

Votre coach va vous poser des questions que vous ne vous poseriez jamais seul·e.

Pourquoi ?
Parce qu’il n’est pas vous.
Parce qu’il ne vit pas vos contraintes, vos croyances, vos peurs.
Parce que, depuis une autre position de perception, il voit ce que vous ne regardez pas et il ose vous y confronter.

Parce qu'il est formé, expérimenté voire certifié - ça compte un peu aussi quand même -


Et comme il vous refuse éthiquement et avec souplesse le jugement, l’interprétation ou la solution miracle… il vous ramène à l’essentiel => faire le tri entre ce qui relève :


des faits (ce qui est vrai, vérifiable, quanti-fiable),

des opinions (ce que vous racontez sur le réel),

des sentiments (ce qui vous traverse et qui mérite d’être entendu).


C’est cette rigueur-là (simple, mais puissante) qui garantit votre évolution.


À ce stade, on s’éloigne très très loin des questions du type :

« Est-ce que ça va réduire ma pression au travail ? »

« Est-ce que je vais apprendre les bases du management ? »

« Est-ce que ça peut passer en formation OPCO ? »


On ne parle plus d’un budget.
On parle d’un pari sur votre avenir.


Comme disait Sénèque :

« Il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va. »


Le coaching ne garantit pas votre futur.
Ce qui le garantit, c’est votre intention, votre engagement, votre travail.


Le coaching, c’est un tel accélérateur que les sceptiques devraient être curieux…

Et les convaincus devraient être déjà en train de composer un numéro.

Alors, pourquoi pas vous ?
Si vous êtes arrivé·e jusqu’ici, c’est peut-être que vous avez déjà commencé à vous coacher… sans le savoir.


Prenons simplement le temps d’une conversation et voyons où cela vous mène.

La première conversation est libre, confidentielle et sans engagement : Celle-ci, c’est moi qui vous la garantis.

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"Le coaching c'est du bullshit !!"

##coachingprofessionnel , ##dirigeant , ##DRH , ##manager , ##leadership

" Le coaching c’est du bullshit !! "

Vous avez probablement déjà vu, lu ou entendu dans votre parcours ce genre d’assertion. Peut être même l’avez-vous pensé ou le pensez toujours ? Moi-même, jusqu’il y à une dizaine d’années, je prenais le coaching pour une forme de mentalisme manipulateur.


Après tout, quoi de plus normal ?


En effet, entre les quasi gourous aux parcours "exemplaires" - grandes écoles, expatriation, sportifs de haut niveau, canons à punchlines -, les prêcheurs prosélytes, les accompagnants ésotériques débordant d'une compassion sur jouée, la simple quantité industrielle de l’offre ou encore les amabilités adressées à la profession d’une certaine auteure philosophique embrassant à l’infini le personnage joué par son grand père, il en devient presque difficile de ne pas céder à la croyance limitante :


Le coaching c’est du bullshit !!


Et pourtant...


Si nous prenons honnêtement un peu de recul, pouvons nous citer des expériences vues, vécues ou rapportées par des personnes de confiance qui ressembleraient au désastre annoncé ?


Bien esseulé.e celui ou celle qui pourrait en témoigner.


Inversement, connaissons-nous des expériences neutres, réussies voire transformatrices ? Peut être rassemblerons nous un peu plus de monde mais pour la majorité d’entre nous rien de marquant à signaler.


Cette absence d’expérience directe laisse libre cours à toutes les spéculations positives ou négatives. Soyons lucides, la viralité des plus négatives l'emportera sur celle des positives. En cela, nous pouvons collectivement remercier le succès des bad buzz algorithmiques.


Tentons autre chose


Vous pouvez, là maintenant, vous poser un instant.
Fermez les yeux.
Imaginez-vous dans un lieu calme, confortable, protégé des turbulences du quotidien.


Dans cet espace vous échangez librement, en toute confiance et confidentialité avec un.e professionnel.le du coaching.


Et que se passe-t-il ?


C’est vous qui parlez le plus. Vous abordez vos sujets les plus frustrants détaillant les évènements, les ressentis voire jugements que vous y associez. Vous trouvez les mots justes, ceux qui libérent une tension intérieure née du non-dit ou du mal-dit.


Peu à peu, vous vous surprenez à prendre de la hauteur, à lâcher prise et reconnaissez l’exagération que vous faites parfois de vos erreurs. Vous identifiez aussi des ressources oubliées dont vous disposez pour faire face. Votre libre arbitre s'exprime avec une facilité et une maturité étonnantes.


Puis, vous retrouvez le goût de l’essentiel, des valeurs qui vous animent et récupérez un peu de confiance en vous, d’estime de vous.. Vous cheminez vers ce qui fait sens pour vous sentir pleinement à votre place.


A partir de là, le.a coach.e n’est plus qu’un maître des horloges qui vous encourage à travailler vos projets concrètement de la manière la plus optimale et alignée. Alignée avec vos objectifs eux même calibrés par rapport à vos capacités, vos valeurs et votre éthique.


Vous prenez un instant pour ressentir cette fierté d’avoir incarné une posture juste et peut être même d’avoir développé une compétence de plus.


Vous associez ce sentiment à un geste simple - par exemple poser la main sur votre poignet ou serrer légèrement le poing gauche -.


Ce geste deviendra votre « ancre émotionnelle » à retrouver les jours de doute ou de tension.


Inspirez une dernière fois profondément…


Et quand vous êtes prêt.e, rouvrez les yeux,


Gardez avec vous cette certitude : « le coaching peut m’aider à répondre au mieux à mes enjeux !! ».


Ni miracle ni magie : un métier.


Ce que vous venez d’imaginer n’a rien d’extraordinaire.


Un échange authentique avec quelqu’un de concentré sur votre discours qui vous aide à construire un projet aligné avec vos besoins et vos ressources...


Cela suppose simplement de rencontrer la bonne personne.


Cette personne saura tenir la posture, user d’outils éprouvés et vous sécuriser dans votre travail.

Parce que le coaching ce n'est pas un don;

Ce n'est pas un superpouvoir;

C’est un métier. Rigoureux, formé, éthique.


Et de la même façon que vous exercez le vôtre avec professionnalisme , il existe nécessairement des professionnel.le.s capable.s de vous faire bénéficier des effets réels d’un coaching.


Pas du Bullshit, juste du travail - sur vous, avec vous.


Si vous êtes arrivé.e jusqu’ici vous aurez peut être changé d’avis, ou envie de prolonger la discussion avec un coach professionnel certifié. Dans ce cas vous savez à qui vous adresser mes coordonnées étant disponibles sur mon site.

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𝐋𝐚 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐢𝐫𝐢𝐠𝐞𝐚𝐧𝐭 : 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐠𝐢𝐫

🚀𝐋𝐚 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐢𝐫𝐢𝐠𝐞𝐚𝐧𝐭 : 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐠𝐢𝐫 => 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐛𝐨𝐧 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭 𝐧𝐨𝐧 ?


Bonjour à tous. aujourd'hui on parle d'un phénomène qui relève à la fois de la réalité mais aussi du ressenti de chacun. Ce ressenti est lui même associé à sa propre expérience, aux circonstances et l'état de forme psychique et physique.


A noter qu'il ne faut pas confondre solitude et isolement du dirigeant. De manière quasi systémique, le fait que le dirigeant soit au sommet de la pyramide ou du râteau de l'organisation l'oblige à une forme d'isolement en tant qu'arbitre de dernier recours.


Par ailleurs, il est aussi possible de ressentir cette solitude en étant simple manager si les circonstances l'impose du fait du mode de management inapproprié de la hiérarchie par exemple


🌡 𝐔𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐢𝐧𝐡𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐚𝐮 𝐬𝐭𝐚𝐭𝐮𝐭 𝐝𝐞 𝐝𝐢𝐫𝐢𝐠𝐞𝐚𝐧𝐭


Le chef d’entreprise est seul à la tête de son organisation. Il porte l’impulsion stratégique et assume les responsabilités financières, légales ou humaines. Ce statut, bien que valorisant, implique une charge mentale importante. Selon une étude de Bpifrance Le Lab (2016), 𝟒𝟓 % 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐫𝐢𝐠𝐞𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐬𝐞 𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐢𝐬𝐨𝐥𝐞́𝐬 (𝟏𝟏 % 𝐭𝐫𝐞̀𝐬 𝐢𝐬𝐨𝐥𝐞́𝐬). A noter que cette statistique reflète les repondants qui se sentent isolés ou très isolés en permanence. Quel aurait été le résultat si l'on parlait du pourcentage de personne l'ayant au moins ressenti une fois de temps en temps ? 100% ?


🌫𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐮𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐢𝐬𝐨𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭


Plusieurs facteurs expliquent ce sentiment :


 👉 𝐋𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐝𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́𝐬 : prise de décisions complexes dans un environnement incertain.

 👉 𝐋𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 : difficulté à trouver des interlocuteurs internes ou externes pour partager les préoccupations.

 👉 𝐋’𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐥𝐢𝐛𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 𝐩𝐫𝐨/𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨 : des horaires lourds et une pression constante affectent la vie privée.

 

💡 Si l’on creuse un peu les notions implicites dans les causes de l’isolement du dirigeant citées ci-dessus, on se rend compte que 𝐥𝐚 𝐧𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐪𝐮𝐢 𝐬’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞. La confiance en soi, lorsque l’on s’attaque à des tâches qui débordent de nos compétences et la confiance en nos équipes lorsqu’il s’agit de déléguer ou partager des informations confidentielles par exemple.


En effet, vous n'éprouverez aucun sentiment de solitude dans les situations de prise de décisions sur des sujets sur lesquels vous avez le ressenti de maitriser toutes les données et d'avoir pleine compétence et légitimité à agir. Vous avez confiance en vous sur ce domaine.

De même, vous ne ressentez pas ce sentiment en cas de pleine délégation de toutes vos tâches urgentes et peu importantes. En vous sentant bien entouré.e vous faites confiance à vos équipes et ne vous dites pas "il faut que je m'occupe de tout"


🔥 𝐂𝐨𝐧𝐬𝐞́𝐪𝐮𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞


L’isolement fragilise le dirigeant et peut nuire à sa prise de recul, à sa capacité d’anticipation et à la performance de son entreprise. Il est aussi un facteur de stress intense pouvant mener au burn-out.


En effet, la solitude ressenti est un moteur pour se refermer sur soi, ne pas développer de compétences adéquates ou faire appel à un soutien extérieur. Ce faisant, vous ralentissez votre organisation, réduisez le sentiment d'appartenance général et entretenez votre sentiment de solitude => cercle vicieux


⛑ 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐫𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞 𝐥’𝐢𝐬𝐨𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 ?


Des solutions existent pourtant :


👉 S’entourer de pairs via des réseaux professionnels.

👉 Revoir son organisation en impliquant davantage ses équipes dans la gouvernance.

👉 Se former pour prendre du recul et acquérir de nouvelles compétences.

👉 Déconnecter via des loisirs ou du bénévolat pour préserver son équilibre mental.

👉 𝐒𝐨𝐥𝐥𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐚𝐜𝐡 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐢𝐟𝐢𝐞́ pour un regard extérieur et objectif.


😇 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧


La solitude du dirigeant n’est pas une fatalité. L’acceptation de ses limites, le partage des responsabilités et le développement d’un entourage solide sont les clés pour mieux la vivre et pérenniser l’entreprise.


𝐋𝐚 𝐝𝐞́𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐚𝐜𝐡𝐢𝐧𝐠 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐮𝐜𝐜𝐞̀𝐬 pour rompre la solitude du dirigeant. La notion de confiance est un sujet naturel du coaching. De nombreux outils existent en plus de la posture du coach pour faire émerger et traiter les éventuels réflexes ou croyances limitant cette confiance qui vous fait défaut. Vous pourrez faire un diagnostic fiable de votre situation personnelle, l'accepter et agir (le fameux triple A) en retrouvant à la fois confiance mais surtout motivation dans chemin vers la réussite.


Alors, on se prend en main et on contacte un coach professionnel certifié 😉

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Le coaching professionnel, c'est quoi au juste ?

Salut à vous, chers lecteurs curieux de l'univers du coaching !

Cela fait bien longtemps que je n'ai rien écrit sur ce blog et c'est un tort!!

Aujourd'hui, on va lever le voile sur la réalité du coaching professionnel, en mettant en lumière les différences avec nos amis les consultants, formateurs, mentors et thérapeutes. On en profitera aussi pour évoquer quelques outils magiques utilisés par les coachs. Accrochez-vous, ça va être une balade aussi rapide qu'instructive et (je l'espère) sympathique !

Coach vs Consultant : La Grande Distinction

Imaginons un consultant comme un GPS sophistiqué. Besoin d'un itinéraire précis pour booster ton business ou résoudre un problème spécifique ? Le consultant te donnera les étapes à suivre. Le coach, lui, est plus comme un boussole intérieure. Il t’aide à trouver ta propre route et à découvrir tes propres solutions. Pas de plans tout faits, mais des questions qui font mouche et te poussent à réfléchir.

Coach vs Formateur : La Subtilité du Rôle

Le formateur, c’est le prof sympa qui te donne toutes les réponses sur un plateau. Tu veux apprendre une nouvelle compétence ? Il te fournit les connaissances, savoir faire voire codes de conduite nécessaires. Le coach, en revanche, te guide pour que tu trouves par toi-même comment appliquer ces compétences dans ta vie. C’est un peu comme apprendre à pêcher au lieu de recevoir un poisson.

Coach vs Mentor : Le Guide vs Le Modèle

Un mentor, c’est ce sage un peu mystique qui partage son expérience et ses conseils de vie. Il a parcouru le chemin avant toi et te montre l'exemple. Le coach, lui, ne te donne pas de conseils basés sur son expérience personnelle. Il t’aide plutôt à explorer tes propres expériences et à développer ta propre sagesse.

Coach vs Thérapeute : Présent et Futur vs Passé

Le thérapeute, c’est l’archéologue de tes émotions. Il t’aide à creuser dans ton passé pour comprendre et guérir. Le coach, de son côté, se concentre sur ton présent et ton futur. Quelles sont tes aspirations ? Tes objectifs ? On avance vers ces objectifs !

Les Outils du Coach : Boîte à Outils Magiques

Parlons maintenant des outils que les coachs utilisent pour nous transformer en super versions de nous-mêmes. Voici quelques pépites :

  • Analyse Transactionnelle (AT) : Plus qu'un outil une boite à outils pour comprendre les interactions et comportements. Idéal pour décrypter les jeux psychologiques qui nous pourrissent la vie.


  • Programmation Neuro-Linguistique (PNL) : Des techniques pour reprogrammer notre cerveau et changer nos schémas de pensée limitants. Le déroulé type d'un coaching lui doit beaucoup mais chuuuut !


  • Communication Non Violente (CNV) : Pour apprendre à exprimer nos besoins et écouter ceux des autres sans jugement. Un must pour des relations symétriques et harmonieuses.

Et les Modèles de Coaching dans tout ça ?

Maintenant, intéressons-nous aux modèles de déroulement des séances de coaching :

  • GROW : C'est l'acronyme de Goal (objectif), Reality (réalité), Options (options) et Will (volonté). Un modèle simple et efficace pour structurer une séance ou un programme de coaching. Nous le devons à un des pères du coaching professionnel à savoir Sir John Withmore cité ci-dessus dans la petite image


  • PERFORM : Plus complet, ce modèle inclut Purpose (but), Existing situation (état présent), Resistance (freins), Fishing for ressources (exploration des solutions), Options of actions (lister les solutions), Roil out plan (mise en oeuvre d'un plan) et Monitor and mesure (plan d'évaluation). Une approche holistique pour accompagner le client.

Il en existe des dizaines d'autres tels que le Management Coaching n'est ce pas mais c'est une autre histoire. Ce qu'il faut retenir est qu'ils ont tous une trame assez proche qui tend parfois à la simple reformulation. Mais comme toujours, seule la recette ne fait pas le cuisinier !!


Voilà, chers lecteurs, vous savez maintenant tout ou presque sur le coaching professionnel et ses différences avec les autres métiers de l’accompagnement. J'ai essayé de faire plus court que d'habitude, et si vous avez envie de devenir une meilleure version de vous-même, pourquoi ne pas tenter l’aventure du coaching ? Après tout, qui n’a pas besoin d’un petit coup de pouce pour avancer dans la vie ?

A bientôt

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Tous mes vœux d'accompagnement pour 2021

##accompagnement , ##management , ##leadership , ##stress

Comme de coutume, je ne vais pas vous faire des vœux de santé, bonheur et réussite ou quoi que ce soit de cet ordre car malgré la bonne intention qui y est associé ce genre de vœu n'a malheureusement aucune chance d'influencer positivement votre parcours.

Mais ce n'est pas triste car je crois que c'est la définition même d'un vœu. Il intervient dans des circonstances particulières qui nous font croire en une force supérieure capable d'influencer le cours des choses sans réelle intervention de notre part.

Pourquoi voudrait on influencer le cours des choses avec l'aide d'une intervention quasi divine ? Serait ce parce que nos désirs sont inatteignables ? Ou bien parce qu'ils demandent l'interaction de tellement d'autres personnes qu'ils en seraient encombrants pour leur liberté ? Ou encore par paresse de bienveillance ?

En réalité, je crois que nous sommes des milliards à avoir fait des vœux non récompensés en 2020. Nous avons vu un microbe secouer tous nos plans. Qu'ils soient les plus ambitieux ou les plus modestes. Je fais partie du monde donc je n'y ai pas échappé. Je m'en suis retrouvé sidéré, énervé, déprimé, et j'ai même fini par l'accepter.

Maintenant que je sais ce qui m'a perturbé je sais aussi ce qui me contrarie encore aujourd'hui. C'est le comportement que j'ai pu avoir en 2020 et que je crains de continuer à voir à grande échelle en 2021.

J'ai jugé les autres.

A force de juger les faits, les actes, les lois, sans jamais y trouver de satisfaction, on a associé des personnes aux faits que l'on jugeait "délétères" et avons succombé au piège du bouc émissaire.

On a jugé les autorités, les dirigeants politiques, les citoyens, les personnels soignants, les études scientifiques, les sondeurs d'opinion, les entreprises, les fonctionnaires, les associations, les Chinois, les Américains, les Suédois, les britanniques, toutes les personnes ou groupes de personnes du monde entier, comme s'ils faisaient corps avec une intention égoïste univoque et perpétuelle. Cela nous a conduit selon notre point de vue à une sentence positive ou négative.

Et comme nous sommes tous exposés au biais cognitif de "confirmation", j'ai eu tendance comme tout un chacun à défendre mes sentences.

Je parle du mot "sentence" car il est tout ce que je n'aime pas dans la vie courante. Définitif, abrupt, irréversible et autoritaire.

Une sentence, pour moi, doit rester de l'ordre de la justice. Quand il faut arbitrer, condamner ou punir une "faute" légale, j’entends le mot sentence comme un instrument nécessaire à la société. Je ne vais pas vous dire qu'il y a une intention positive derrière un crime. Mais quand il s'agit d'une opinion, d'un ressenti viscéral à peine ébauché à partir d'informations parcellaires et reconstruit avec des briques de préjugés et du ciment d'idéologie, nos réflexes sentencieux me paraissent à minima déplacés voire carrément répugnants.

Mais peu importe mon dégoût. Vous aurez noté que les "péchés" que je nous ai attribué sont tous à ranger dans les cases des cibles à déconstruire lors d'un coaching. Nous déconstruisons un objectif inopportun, une croyance exagérée, une manière de réfléchir récurrente, faisons la chasse aux biais cognitifs pour , au final, se libérer et même s'apprendre.

Avez vous déjà ressenti une sorte de soulagement, voire de plaisir, lorsque vous avez trouvé une solution à un problème en utilisant une manière différente de voir les choses ? En utilisant des ressources nouvelles ou en échangeant de manière imprévue ? Cette petite ivresse, ce moment de hauteur, de respiration, de libération voire de puissance.

C'est tout ce que je vous souhaite en 2021. Pas seulement parce que cela fait du bien mais aussi parce que c'est à votre portée. Je vous souhaite de progresser par vous même là où vous vous sentirez enfermés. Le monde nous a appris que nous pouvions être enfermés, au propre comme au figuré, très facilement. Beaucoup plus facilement que l'on s'était habitué à le croire. Et bien, acceptons le et accompagnons notre chemin d'un peu de hauteur, bon sens et de bienveillance.

S'accompagner en faisant un pas de côté pour se poser les bonnes questions, accepter les obstacles et les ratés , s'ouvrir aux aides extérieures pour au final avancer là où on était bloqué. Vous pouvez le faire seul ou a plusieurs avec ou sans accompagnant.

C'est tout le bien que je vous souhaite en 2021 et les années futures



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